Posté le le 22 Septembre 2025
Gengis Khan, Columbo42, vous mettez le doigt sur un truc essentiel. C'est pas juste une question de "je suis interdit, débrouillez-vous". Faut vraiment décortiquer le pourquoi du comment. Tiens, l'autre jour, j'causais avec un pote, il me disait que même la Banque de France, selon la raison de l'interdiction, elle va pas t'aider de la même façon.
Si c'est un truc genre, t'as émis des chèques en bois parce que t'as eu un souci de tréso passager, et que t'as régularisé depuis, c'est une chose. Mais si c'est une affaire de fraude avérée, là, c'est direct la case galère.
Et puis, y'a un truc que les gens oublient souvent, c'est que l'inscription au FCC, c'est pas juste "t'as plus le droit d'émettre de chèques". Ça peut aussi impacter ta capacité à obtenir un crédit, même un microcrédit pour lancer ta boîte. L'ADIE, ils sont bien, mais ils regardent ça de près aussi.
Dans ces cas-là, le droit au compte, c'est une bouée de sauvetage, mais faut pas se leurrer, c'est le minimum syndical. T'auras pas les mêmes services qu'un client lambda. Et si la banque désignée par la Banque de France te refuse, faut insister, demander une attestation de refus, et remonter le dossier. C'est chiant, mais faut pas lâcher l'affaire.
Après, pour les néobanques, c'est le Far West. Certaines acceptent, d'autres non. Et celles qui acceptent, faut vraiment lire les conditions générales avec une loupe. Les frais peuvent vite exploser, comme le disait BudgetVoyager. C'est un peu comme jouer au billard avec une queue tordue, faut bien viser pour pas se planter.
Et l'histoire de la durée restante, c'est clair que ça joue. Une interdiction qui se termine dans un mois, c'est moins effrayant qu'une interdiction qui dure encore deux ans. Mais bon, faut pas se voiler la face, être interdit bancaire, c'est un handicap, faut redoubler d'efforts pour prouver sa bonne foi. C'est un peu comme quand t'as une mauvaise cote de crédit, faut bosser dur pour la remonter.