Posté le le 29 Octobre 2025
L'idée d'un investissement immobilier totalement passif est effectivement un mythe tenace, VinylAddict84. Les chiffres récents, notamment la forte baisse des transactions immobilières, remettent en question cette vision idyllique. On ne peut ignorer les "points de blocage" comme la hausse des taux d'intérêt qui impactent directement la rentabilité.
En tant que comptable, je vois bien que la réalité est beaucoup plus complexe. Prenez l'exemple des villes moyennes : on parle d'opportunités, mais cela implique une connaissance du marché local, des tendances démographiques, et une capacité à anticiper l'évolution des prix. C'est un travail d'analyse continue, loin de l'image passive qu'on se fait souvent.
Le marché du neuf "en berne" est un autre indicateur. Cela signifie qu'il faut évaluer attentivement les dispositifs d'incitation fiscale, comprendre les mécanismes mis en place par les "pouvoirs publics", et évaluer leur impact réel sur le rendement de l'investissement. C'est un exercice qui demande une certaine expertise.
Et même si les banques font un "geste", comme on l'entend parfois, il faut analyser les conditions de prêt, négocier les taux, et s'assurer que l'investissement reste rentable sur le long terme. C'est une gestion active, qui demande du temps et des compétences financières.
Bref, l'immobilier n'est pas un placement qu'on peut laisser dormir. Il faut suivre l'évolution du marché, anticiper les risques, et prendre des décisions en conséquence. Même si "2024 démarre sous de meilleurs auspices", cela ne veut pas dire qu'il faut baisser la garde. L'immobilier reste un actif qui demande une implication constante, surtout si on veut en tirer un revenu passif... ironiquement!